Chez Gallagher, nous savons que l’eShepherd™ constitue la prochaine évolution en matière de gestion des pâturages. Toutefois, pour de nombreux clients, l’absence de clôture physique constitue une technologie innovante qui peut être difficile à appréhender. Aussi, alors que nous nous préparons au lancement, il est important pour nous de partager notre histoire et de faire découvrir ce système en action.
Nombre de nos essais ont été réalisés dans un contexte agricole traditionnel, où cette technologie et les autres évolutions en matière de technologies agricoles constituent la clé ouvrant la voie d’avenir de l’agriculture. Mais, dans de nombreux cas de figure, la clôture virtuelle peut s’avérer tout aussi efficace, comme nous l’avons constaté à l’occasion de notre premier essai réalisé en Europe.
Sutton Park est une réserve naturelle nationale située près de Birmingham, au Royaume-Uni. Elle couvre une surface de quelque 900 hectares, dont le tiers est constitué de prairies. Chaque année, Adam Neachell, un fermier local, y mène son troupeau pour que celui-ci puisse, durant environ six mois, paître naturellement dans les prairies, préserver l’écologie et favoriser la biodiversité locale. Mais il y a un problème...
Le club de golf de Coldfield est situé au nord-ouest de ce parc national et, dans le passé, le troupeau a endommagé son parcours. Ce club étant toutefois situé sur des terres publiques, l’emploi de clôtures physiques destinées à protéger ses allées et ses verts n’est pas autorisé. En plus de ce club de golf, certains événements des Jeux du Commonwealth tenus à Birmingham en juillet 2022 devaient se dérouler à Sutton Park. Et personne ne souhaite que ses chaussures de sport atterrissent dans une bouse de vache en plein milieu d’un triathlon!
Membre de ce club, le perspicace Keith Hopkinson y a vu l’occasion de collaborer avec Gallagher pour mettre à l’essai sa solution de clôture virtuelle en vue d’éviter que les animaux n’investissent le club de golf. Adam et lui ont uni leurs efforts à ceux du conseil de Birmingham et des organisateurs des Jeux afin de préparer une solution pour l’été.
« L’équipe chargée du bien-être animal au sein du conseil municipal a appuyé ces propositions pour toute une série de raisons, y compris le fait que l’utilisation de clôtures électriques menace la faune sauvage, particulièrement les chevreuils, tandis que ce système virtuel ne nuit pas aux autres animaux et leur permet de se déplacer librement sans courir de risques. » Conseil municipal de Birmingham.
Après un bref essai et une période de formation à la ferme d’Adam dans le cadre desquels les animaux ont été munis de colliers GPS eShepherd™ à énergie solaire destinés à ce qu’ils apprennent à reconnaître les signaux d’alerte et les impulsions électriques, le troupeau a ensuite été déplacé à Sutton Park en mai 2022.
Keith s’est montré particulièrement ravi de pouvoir réaliser cet essai après qu’il ait été initialement proposé en 2017 et a déclaré : « D’entrée de jeu, il est clairement apparu que ce système de clôture virtuelle offrait de nombreux avantages à toutes les parties intéressées du parc. Parmi ceux-ci, citons notamment une visibilité et une maîtrise plus importantes sur les schémas de pâturage dans l’ensemble du parc, ce qui concourt à améliorer la qualité des landes et des terrains boisés ancestraux et le bien-être animal, en plus de protéger le parcours de golf de tout risque de dommages coûteux. »
À l’occasion d’une entrevue réalisée durant le déroulement de cet essai pour l’émission Midlands Today de la BBC, Keith a déclaré : « Cela fonctionne vraiment très bien. Nous sommes tous très satisfaits de la façon dont cela se déroule. »
« Avez-vous jamais vu quelque chose comme ça? C’est futé! » Mary Rhodes, présentatrice de Midlands Today
La saison de pâturage à Sutton Park s’est terminée début septembre, ce qui signifie que les colliers ont été retirés des animaux et rangés, prêts pour une autre saison l’année prochaine.
Andrew Zipsin, responsable du soutien à la clientèle chez Gallagher, a passé les données en revue et déclare : « L’application web eShepherd a compilé les données de localisation des animaux sur l’ensemble de la saison, et la carte de densité indique clairement que le troupeau s’est efficacement tenu à l’écart du parcours de golf et de la zone du triathlon des Jeux du Commonwealth. Toutes les personnes intéressées sont absolument ravies de la mise en application de cette nouvelle technologie destinée à résoudre un problème autrement difficile. »
Cliquez ici si vous souhaitez en savoir plus sur le système eShepherd™.
Une tempête parfaite se pointe à l'horizon dans l'agriculture : la croissance démographique, les progrès technologiques, les réglementations gouvernementales et l'évolution des comportements des consommateurs poussent les agriculteurs et les entreprises à adopter des pratiques nouvelles et novatrices pour rester productifs et rentables. Chez Gallagher, nous gardons une longueur d'avance sur la tempête, en développant les solutions qui guident les agriculteurs et les consommateurs vers un avenir meilleur.
Un an après l'acquisition d'Agersens, les développeurs de la solution eShepherd, nous travaillons discrètement à la création d'un produit que les agriculteurs vont adorer.
Clôture virtuelle eShepherd
eShepherd augmente la productivité et la rentabilité grâce à une utilisation plus efficace de vos terres et de votre temps. En effet, il permet de sectionner le bétail à distance, d'éviter le surpâturage et/ou le sous-pâturage, d'améliorer vos taux de chargement et la santé de vos terres. Tout cela, tandis que vous améliorez la gestion et le bien-être de vos animaux en surveillant à tout moment la localisation de chaque animal depuis votre tablette ou votre PC et en les déplaçant sans souci.
Le collier lui-même est confortable et sans risque pour les animaux, avec une sangle flexible qui se détache sous tension si le collier s'accroche. Les surfaces sont lisses et empêchent le frottement ou la friction lors d'une utilisation continue. Il fonctionne à l'énergie solaire et est entièrement réglable, ce qui garantit un ajustement parfait pour chaque animal.
En Nouvelle-Zélande, nous avons établi un partenariat avec le groupe Pāmu, qui gère plus de 100 fermes d'élevage de moutons, de bovins, de vaches laitières et de cerfs, ainsi que des forêts et des vergers d'avocats. Pāmu Group nous dit que « nous déplacerions des montagnes pour que cette technologie soit mise en œuvre de manière permanente dans nos fermes » et affirme qu'eShepherd contribue à la progression de leur stratégie commerciale, notamment en apportant des innovations qui permettent à leur parcours numérique de soutenir la conformité, l'assurance et la croissance des revenus, et stimule les processus automatisés qui font gagner du temps à leurs équipes et soutiennent d'autres domaines de l'entreprise tels que les améliorations génétiques.
Le futur est connecté, et portable...
eShepherd constitue un pas de géant vers une production animale durable et efficace, la prochaine étape évolutive dans la gestion de vos pâturages. Nous savons que le fait de ne pas avoir de clôture physique est une technologie révolutionnaire et peut être un concept difficile, mais ce que nous aimons chez eShepherd n'est pas si différent des produits et services que nous utilisons tous les jours - voici comment :
- Connecté : De nos téléviseurs et appareils audio à nos réfrigérateurs et sonnettes de porte, de plus en plus d'objets sont chaque jour ajoutés à nos maisons connectées, et les fermes ne font pas exception. Les données sont de plus en plus utilisées par les agriculteurs pour comprendre et mieux gérer la productivité, prendre des décisions fondées sur les données pour trouver des moyens de produire plus avec moins, et démontrer la traçabilité. Pour y parvenir, il est essentiel de connecter les points de données.
- Portable : Depuis des centaines d'années, les agriculteurs utilisent la technologie sur les animaux. Des cloches sur les chèvres à la pratique plus moderne des marques auriculaires visuelles et électroniques et des colliers pour le suivi de la santé. La différence réside dans le fait que la technologie sur les animaux est intelligente, connectée et ajoute beaucoup plus de valeur grâce à l'analyse en temps réel - pensez-y comme une montre intelligente pour votre troupeau!
Ce qui est formidable, c'est que ce n'est pas une réalité future, c'est une réalité bien actuelle; les informations sont collectées, elles ont juste besoin d'une collaboration pour les rassembler et, surtout, pour que l'agriculteur puisse les analyser facilement afin de prendre de meilleures décisions agricoles.
Fieldays® est l'occasion pour Gallagher de présenter un système de clôture virtuelle qui révolutionnera les activités liées à l'élevage pastoral, en aidant les agriculteurs à respecter les réglementations environnementales et en leur permettant d'économiser des millions de dollars par rapport à ce que des clôtures traditionnelles leur coûteraient.
Le développement et l'expansion commerciale d'eShepherd devraient s'intensifier suite à l'annonce de l'acquisition par Gallagher d'Agersens, un développeur australien, chef de file dans le domaine de la technologie de clôture virtuelle. C'est en 2016 que Gallagher a commencé à investir dans eShepherd.
eShepherd permet aux éleveurs de contrôler l'emplacement et le mouvement de leur bétail à l'aide d'une application web et d'un collier intelligent, alimenté par énergie solaire et connecté à Internet par l'intermédiaire d'une station de base. Les tests, dont le programme d'essai bêta en Australie et en Nouvelle-Zélande, montrent que la technologie s'avère efficace pour la rotation des pâturages et la protection des zones riveraines.
Sarah Adams, responsable de la stratégie mondiale et des nouvelles initiatives chez Gallagher, déclare que les agriculteurs disposent grâce à eShepherd d'un outil précieux capable d'optimiser l'utilisation et la productivité des pâturages, mais également de relever un certain nombre de défis encore plus importants pour le secteur.
« L'avenir de l'agriculture est numérique et high-tech. Les agriculteurs ont besoin d'outils capables de leur faciliter leur travail en leur fournissant les données nécessaires pour prendre les bonnes décisions.
« D'autres problèmes plus importants sont également en jeu, les agriculteurs étant contraints de plus en plus à produire davantage avec moins de moyens. Du bien-être animal au changement climatique en passant par la protection de nos précieuses ressources naturelles, la pression s'exerce sur eux dans leur rôle de producteurs de denrées alimentaires.
« eShepherd représente clairement le type de technologie dont notre industrie a besoin pour rester efficace, rentable et durable, et en fin de compte préserver l'acceptabilité de notre activité. »
Comme Sarah l'explique, les éleveurs éprouvent énormément de difficultés à clôturer leurs exploitations, lesquelles s'étendent sur des milliers d'hectares et sont souvent situées sur des terrains vallonnés et éloignés. Ajoutez à cela les réglementations gouvernementales qui viennent rendre le clôturage encore plus compliqué et onéreux.
« eShepherd est un exemple remarquable de technologie intelligente, inspirée par le client, qui changera la façon dont l'industrie de l'élevage gère les pâturages et les animaux. En outre, les économies potentielles sont considérables. »
L'utilisation d'eShepherd permet aux agriculteurs de mettre en place des enclos virtuels et des clôtures pour gérer efficacement leur bétail. Une clôture virtuelle peut être crée à partir de leur tablette ou de leur ordinateur en utilisant les coordonnées GPS sur une carte numérique de leur propriété.
Les animaux sont ensuite équipés d'un tour de cou avec GPS. À mesure qu'ils s'approchent de la clôture GPS, ils sont alertés par un le retentissement intense d'un signal audio provenant du tour de cou. S'ils s'éloignent de la clôture, rien d'autre ne se passe. S'ils ignorent le signal et franchissent la limite, le tour de cou leur transmet une courte impulsion électrique répulsive dont l'approche de dressage reste similaire à celle utilisée lorsqu'il s'agit d'une clôture électrique traditionnelle.
Des essais commerciaux ont été menés avec des spécialistes du comportement animal dans le Queensland (Australie) et dans un certain nombre de propriétés néo-zélandaises. Les résultats ont montré que les bovins apprennent généralement à réagir au signal sonore dans les sept jours.
Grâce à l'interface pilotée par GPS, les agriculteurs disposent également de la possibilité de créer des zones d'exclusion dans la zone d'inclusion, permettant ainsi de clôturer virtuellement les enclos surpâturés, les zones sujettes au pétrissage du sol ou les voies d'eau qui traversent les enclos.
Tous les essais ont été menés sous approbation éthique animale. La technologie détecte si un animal est traqué ou s'il a traversé la clôture eShepherd, puis se désactive automatiquement.
« Une fois que l'animal a repris sa vitesse de marche normale, le système place à nouveau une clôture devant lui et commence à le guider là où il devrait se trouver », explique Sarah.
Les agriculteurs peuvent créer autant d'enclos virtuels qu'ils le souhaitent. Lorsque les bovins sont prêts à être déplacés, l'éleveur sélectionne la destination de l'enclos virtuel et, s'il est contigu, le système les dirige vers le nouvel enclos par l'arrière.
Si le bétail est déplacé sur une grande distance, la clôture virtuelle est simplement désactivée puis réactivée à l'emplacement du nouvel enclos
Les producteurs sont actuellement invités à manifester leur intérêt à faire partie du programme bêta. Pour en savoir plus et pour manifester votre intérêt pour eShepherd, cliquez ici.
La gestion précise des troupeaux à l'aide des colliers eShepherd de Gallagher vient d'être facilitée par le fait que eShepherd offre désormais une couverture partout où votre téléphone cellulaire fonctionne, éliminant ainsi le besoin d'une infrastructure de démarrage coûteuse avec des stations de base de connectivité.
eShepherd est la solution pionnière de Gallagher en matière de clôtures virtuelles, qui utilise des tours de cou pour apprendre au bétail à rester à l'intérieur d'une barrière virtuelle. Elle permet aux agriculteurs de déplacer et de contenir le bétail n'importe où sur leur exploitation, directement à partir de leur ordinateur portable ou de leur téléphone. Sharl Liebergreen, directeur des ventes et de la commercialisation d'eShepherd, explique que le système eShepherd repose traditionnellement sur des communications à longue distance, avec des stations de base installées dans les fermes et capables de communiquer sur plus de 5 km. Les tours de cou eShepherd sont désormais disponibles avec une connectivité cellulaire intégrée, ce qui supprime la nécessité d'installer des stations de base dans votre ferme. Cela signifie que chaque tour de cou individuel se connecte à votre réseau cellulaire local, ce qui se traduit par des coûts de démarrage plus rapides et moins élevés pour les clôtures virtuelles.
La version actualisée du collier peut désormais utiliser une carte SIM mondiale pour se connecter à un réseau cellulaire local, ce qui supprime la nécessité d'installer des stations de base et permet aux agriculteurs d'économiser le coût d'infrastructure initial de 5 000 dollars par station. Les tours de cou utilisent des bandes spécifiques (appelées bandes IoT) du réseau cellulaire local, qui offrent une couverture et une connectivité améliorées, en particulier dans les zones rurales ou éloignées où les services cellulaires traditionnels peuvent être moins fiables, explique M. Sharl. Ces bandes garantissent une transmission fiable des données.
M. Sharl explique que Gallagher a pu constater la croissance de la couverture cellulaire en Nouvelle-Zélande et en Australie grâce à des développements récents, notamment le partenariat entre SpaceX et des sociétés locales de téléphonie cellulaire pour améliorer la connectivité en milieu rural. « En tirant parti de ces réseaux cellulaires, nous pouvons offrir aux agriculteurs une plus grande souplesse et leur éviter d'avoir à installer des stations de base, dont la valeur est estimée à 5 000 dollars chacune », explique M. Sharl.
« Des recherches récentes sur les clôtures virtuelles ont montré que l'installation de clôtures virtuelles à l'aide de stations de base constituait une énorme barrière à l'entrée, avec des coûts pouvant atteindre 40 000 dollars. Les agriculteurs nous ont dit qu'ils préféraient investir dans un plus grand nombre de colliers que dans des stations de base », ajoute M. Sharl. Selon lui, l'option cellulaire sera également bien accueillie par les clients américains et canadiens de Gallagher, qui font paître de grands enclos, souvent pas côte à côte ou à proximité les uns des autres, mais qui bénéficient d'une bonne couverture cellulaire. « Si la ferme dispose d'une couverture cellulaire, il n'est pas nécessaire d'investir dans des stations de base. Chaque tour de cou eShepherd se connecte au réseau cellulaire local. L'éleveur n'a rien à faire. Le coût de la connexion cellulaire est géré par Gallagher », explique Sharl.
« Avec une carte SIM installée dans le tour de cou pour faciliter la connexion cellulaire, les éleveurs n'auront qu'à allumer le tour de cou, l'installer sur leurs animaux et ils pourront commencer à gérer et clôturer virtuellement leurs troupeaux immédiatement. eShepherd s'occupera du reste, y compris de la connexion au réseau cellulaire et de la gestion de la facturation entre le réseau et le tour de cou », dit Sharl. Cela permet à l'agriculteur de travailler avec les dernières fonctionnalités, tout en perturbant le moins possible les activités quotidiennes des agriculteurs », explique Sharl.
M. Sharl estime que cette nouvelle fonction sera particulièrement utile pour les petits exploitants ou les agriculteurs à la recherche d'un nouveau mode de vie. « Sans avoir besoin de stations de base coûteuses, les agriculteurs peuvent facilement mettre en place des clôtures virtuelles sur leurs propriétés, assurant ainsi le bien-être de leur bétail sans se ruiner », explique M. Sharl. « Dans le cas des propriétaires de biens immobiliers, il s'agit d'un mode de vie. Ils travaillent souvent loin de leur propriété, mais même lorsqu'ils sont occupés à jongler avec de multiples responsabilités, ils peuvent toujours gérer efficacement leur bétail grâce à eShepherd et à la connectivité cellulaire », ajoute M. Sharl.
Pour en savoir plus et vous inscrire à la clôture virtuelle eShepherd, cliquez ici.
La gestion à distance des troupeaux a fait un bond en avant grâce à la nouvelle fonction de déplacement programmé d'eShepherd, qui permet aux éleveurs de ne pas avoir à intervenir, ce qui leur permet de gagner du temps en déplaçant les pauses d'alimentation et en déplaçant les troupeaux. eShepherd est la solution pionnière de Gallagher en matière de clôtures virtuelles, qui utilise des colliers pour entraîner le bétail à rester à l'intérieur d'une barrière de clôture virtuelle. Elle permet aux éleveurs de déplacer et de contenir le bétail n'importe où sur leur exploitation, directement à partir de leur ordinateur portable ou de leur téléphone.
Sharl Liebergreen, directeur des ventes et de la commercialisation d'eShepherd, explique que les nouvelles fonctionnalités d'eShepherd permettent aux éleveurs de ne pas intervenir lorsqu'il s'agit de déplacer leurs troupeaux, ce qui leur donne une plus grande flexibilité et leur permet de gagner un temps précieux. « L'équipe d'eShepherd a travaillé dur sur deux nouvelles fonctions. Le déplacement programmé et la détection de panique. Ces deux fonctionnalités améliorent encore la capacité des éleveurs à gérer à distance leurs troupeaux avec précision et attention », explique Sharl.
Le déplacement programmé permet aux agriculteurs de rationaliser le processus de pâturage en rotation, en automatisant le déplacement de leurs troupeaux d'une pause virtuelle à l'autre. Lors de nos recherches continues auprès des clients, la possibilité de programmer à l'avance les clôtures virtuelles et les déplacements du bétail a été la fonction la plus demandée par les agriculteurs, déclare Sharl. Cette idée s'est imposée dans toutes les régions du monde et a joué un rôle déterminant dans l'établissement des priorités de notre feuille de route, ajoute-t-il. « Les éleveurs peuvent désormais simplement saisir une série d'enclos virtuels dans le système et programmer le moment où ils souhaitent que le troupeau se déplace. Le système eShepherd s'occupe du reste, en veillant à ce que les troupeaux soient déplacés de manière transparente et efficace », explique M. Sharl.
Cette fonction permettra également d'intensifier le pâturage afin d'améliorer l'utilisation des pâturages, explique M. Sharl. Certains agriculteurs nous ont dit qu'ils pouvaient augmenter l'utilisation de leurs pâturages d'environ 50 % à 90 % en utilisant le pâturage tournant dans les régions montagneuses ou les grandes étendues grâce à des clôtures virtuelles. eShepherd permet aux agriculteurs de tirer le meilleur parti des pâturages dont ils disposent déjà. Avec Scheduled Move, un agriculteur peut mettre en place une série de déplacements de clôtures virtuelles, libérant lentement plus de pâturages pour le bétail au fil du temps, sans qu'il soit nécessaire de revenir en ligne et de déplacer constamment chaque clôture virtuelle, explique M. Sharl.
Selon lui, cette fonction sera particulièrement utile pour les exploitations bovines de Nouvelle-Zélande et les grands ranchs et stations d'élevage d'Amérique et d'Australie. « Par exemple, les ranchs américains utilisent de grands paddocks. Cette fonction permettra aux éleveurs de diviser ces enclos et d'y faire tourner les animaux d'une manière qu'ils n'ont jamais pu faire auparavant », explique M. Sharl. Tandis que les déplacements programmés font gagner du temps aux éleveurs et offrent une approche proactive de la gestion du troupeau, la fonction de détection de panique répond au besoin de mesures réactives et assure le bien-être des animaux dans des situations potentiellement dangereuses d'écrasement, explique M. Sharl.
La détection de panique d'eShepherd a été développée en collaboration avec des groupes de protection des animaux et est particulièrement pertinente pour les éleveurs des régions où les prédateurs tels que les coyotes, les loups ou les ours sont présents, comme c'est le cas sur les marchés américain et canadien de Gallagher.
Lorsqu'un membre du troupeau montre des signes de détresse ou de panique, par exemple en s'élançant vers la ligne de clôture virtuelle, le système détecte ce comportement et désactive temporairement la barrière virtuelle. Cela permet à l'animal de fuir la menace perçue sans recevoir de tonalités audio ou de stimuli pour l'encourager à revenir à l'intérieur de la clôture virtuelle.
« Lorsque eShepherd détecte que la menace a disparu et que l'animal s'est calmé, il le ramène doucement dans le troupeau principal à l'aide d'une série de signaux sonores et, si nécessaire, de stimuli. Avec un entraînement approprié, les animaux réagissent bien aux tonalités audio dans les jours qui suivent le port du collier et les stimuli ne sont pas souvent nécessaires », explique Sharl. Si l'animal reste immobile ou retourne à son enclos virtuel, aucun stimulus n'est appliqué. « Il se dirige dans la bonne direction.
Selon lui, ces deux nouvelles fonctionnalités logicielles innovantes soulignent l'engagement d'eShepherd en faveur du bien-être des animaux et de l'aide apportée aux éleveurs pour créer une gestion précise du troupeau, l'utilisation la plus efficace possible de leurs pâturages et de leur temps. « En exploitant la puissance de la technologie, eShepherd aide les agriculteurs à gagner du temps, à optimiser leurs pâturages, à réduire les risques et à assurer le bien-être de leur bétail avec plus de facilité et de précision », déclare Sharl.
Pour en savoir plus et vous inscrire à la clôture virtuelle eShepherd, cliquez ici.
Une vaste exploitation de culture et de finition couvrant 50 000 hectares en Australie occidentale utilise la technologie de clôture virtuelle eShepherd™ pour améliorer la santé et la productivité des cultures et des animaux.
Chilwell Farms, à Condingup près d'Esperance, se consacre principalement à la culture du blé et du canola et exploite également 2000 têtes de bétail Angus, finissant à l'herbe environ 1500 yearlings chaque année, et 30 000 brebis.
En janvier 2024, Simon Fowler a adopté eShepherd pour gérer efficacement le bétail sur ses terres cultivées, dans le but d'améliorer les performances des cultures et des pâturages, ainsi que la productivité et la santé des animaux.
eShepherd, la solution pionnière de Gallagher en matière de clôtures virtuelles, utilise des colliers pour entraîner le bétail à rester à l'intérieur d'une barrière virtuelle, ce qui permet aux agriculteurs de déplacer et de contenir le bétail à partir de leur ordinateur portable ou de leur téléphone.
"Nous n'utilisons eShepherd que depuis janvier, mais cette solution a changé la donne pour nous", déclare Simon.
Auparavant, le bétail se déplaçait librement dans les parcelles de 150 hectares de l'exploitation, ce qui entraînait souvent le sous-pâturage et le surpâturage de certaines zones.
"En plus de ne pas avoir de véritable contrôle sur le bétail dans les grands enclos, ils sous-pâturaient ou sur-pâturaient certaines zones et n'avaient pas le temps de régénérer les pâturages. Le manque d'efficacité du pâturage avait un impact sur la gestion des cultures et des sols et signifiait que nous ne tirions pas non plus le meilleur parti de notre bétail", explique Simon.
eShepherd a permis aux Fowler de contrôler leur bétail avec précision et de mettre en place des cellules de pâturage en rotation dans chaque parcelle de 150 hectares. Les troupeaux sont répartis chaque semaine dans des cellules de 50 à 60 hectares, ce qui garantit un pâturage homogène des cultures résiduelles et des cultures d'été, ainsi qu'une meilleure gestion du bétail. Simon espère intensifier le modèle de pâturage au fil du temps.
"Grâce à eShepherd, nous avons mis en place un système de pâturage tournant. Nos troupeaux sont déplacés de manière transparente, ce qui élimine le travail manuel lié au déplacement du bétail et rend notre gestion des cultures et du bétail beaucoup plus efficace".
Cinq jours après avoir installé les tours de cou eShepherd, Simon a été surpris de voir son troupeau de bovins enfermé dans une cellule derrière la clôture virtuelle.
"On pouvait les voir là, mais ils étaient enfermés dans la clôture virtuelle que nous avions créée", explique Simon. "Le système a sans aucun doute permis d'obtenir un pâturage plus régulier et une meilleure récupération de nos cultures et de nos pâturages.
Simon utilise également eShepherd pour clôturer les zones humides, sous-germinées ou en cours de régénération dans ses parcelles. "C'est très simple. Il suffit de tracer la ligne à l'endroit où la clôture doit être installée. Nous avons des barrages dans les enclos pour l'eau, alors nous traçons la ligne pour que le bétail ait toujours accès à l'eau, où qu'il se trouve dans l'enclos", explique-t-il.
eShepherd s'est également révélé très utile pour gérer le bien-être des animaux. "Nous recevons des alertes si l'un des bovins ne bouge pas. Récemment, j'ai reçu une alerte et j'ai trouvé un bœuf dont la tête était coincée dans une fourche d'arbre. Avant eShepherd, je n'aurais pas su ce qui arrivait à cet animal avant qu'il ne soit trop tard.
Pour Simon, la plus grande victoire a été l'augmentation de la productivité grâce à la gestion intensive des pâturages, sans que cela n'ait d'incidence sur l'efficacité de notre exploitation de cultures à large surface, obtenue grâce à de grands enclos. Et ce, sans unité de travail supplémentaire.
"Nous utilisons actuellement les colliers pour créer un enclos de confinement virtuel de 500 bœufs sur 8 hectares", explique Simon.
"Cela permet à la fois de contrôler l'alimentation et de différer le pâturage, ce qui est important pour une année comme celle-ci où nous avons eu un début très sec. Jusqu'à présent, ce système fonctionne bien et nous a permis d'économiser le coût de construction d'un enclos physique", ajoute-t-il.
Le prochain objectif de Simon est d'affiner ses stratégies de pâturage et d'intégrer davantage de processus automatisés.
"Notre groupe local de producteurs, ASHEEP et BEEF, a également suivi notre travail avec eShepherd, et beaucoup d'entre eux sont impatients de voir ce qu'il peut faire pour eux", dit-il. "eShepherd a définitivement amélioré notre capacité à gérer notre bétail sur nos terres cultivées, en améliorant notre efficacité, le bien-être des animaux et la productivité.
Pour en savoir plus ou vous inscrire à eShepherd, cliquez ici.
Nous sommes heureux d'accueillir chez Gallagher notre nouveau responsable de la recherche et des essais sur les animaux, Jarrod Lees. Jarrod possède une expérience universitaire et pratique exceptionnelle dans le domaine des sciences animales, ce qui lui permettra de mieux comprendre le comportement des animaux dans le cadre du programme eShepherd. Ces connaissances nous aideront à affiner les comportements des animaux et les algorithmes d'apprentissage et nous permettront de développer davantage la surveillance de la santé et du bien-être.
Jarrod a rejoint notre centre d'innovation Gallagher eShepherd près de Melbourne, en Australie, il y a environ un mois, et bien qu'il soit encore en train de se familiariser avec le potentiel offert par eShepherd, nous l'avons rencontré pour en savoir plus sur son arrivée au sein de Gallagher.
Avant de rejoindre Gallagher le mois dernier, sur quoi travailliez-vous?
Dernièrement, j'ai travaillé à l'université de Nouvelle-Angleterre en tant que chercheur postdoctoral en sciences de la viande. Nous avons étudié l'impact des facteurs animaux (par exemple la génétique), des pratiques de gestion et des processus de pré-abattage sur la qualité alimentaire du bœuf et de l'agneau pour le programme de qualité alimentaire de Meat Standards Australia. Avant cela, j'ai travaillé à Meat & Livestock Australia dans le domaine de l'engagement des producteurs, ainsi que du développement commercial pour les transformateurs de viande et les propriétaires de marques.
Mon doctorat en sciences animales portait sur le développement d'un indice de charge thermique pour le bétail laitier. J'ai également travaillé sur des projets visant à étudier l'impact de la charge thermique sur les bovins et les ovins en lots d'alimentation.
Qu'est-ce qui vous a attiré dans le poste de responsable de la recherche et des essais sur les animaux chez Gallagher?
J'avais l'intention de suivre un parcours de recherche académique dans une université, mais après avoir entendu parler de ce poste, j'ai été enthousiasmé par la possibilité de travailler sur des recherches qui aboutiraient à un produit tangible. La culture d'entreprise dont j'avais entendu parler chez Gallagher a été l'un de mes principaux atouts. Pour moi, la culture est la clé d'un environnement de travail qui est productif sans avoir l'impression de travailler. Elle peut faire ou défaire votre passion pour ce que vous faites. Je ne travaille chez Gallagher que depuis un mois, mais je peux honnêtement dire qu'ils ne m'ont pas déçue - j'ai l'impression de faire partie d'une grande équipe et que nous pouvons déplacer des montagnes... et c'est ce que nous faisons. Une itération de tour de cou à la fois.
Il est encore tôt, mais sur quoi avez-vous travaillé jusqu'à présent?
J'ai eu la chance de participer à un événement Rapid Learning Cycles en juin et c'est la meilleure chose que j'aurais pu faire. Cela m'a permis de prendre mes marques, d'acquérir une connaissance approfondie d'eShepherd et de savoir dans quelle direction nous allions avant de commencer officiellement. Pour mon premier jour de travail, j'ai visité le Centre d'innovation d'eShepherd dans le "Buggy", sur des pistes très marécageuses. Un canard se serait embourbé ! Mais pas "The Buggy". Après avoir passé les sept dernières années à l'intérieur de réfrigérateurs à viande, il était bon de rentrer à la maison en sentant la vache.
Sarah Adams, responsable de la stratégie mondiale et des nouvelles entreprises chez Gallagher, explique qu'il n'a pas été facile de trouver la bonne personne pour ce poste, mais maintenant que Jarrod est là, elle se réjouit de la prochaine phase du projet eShepherd :
Il est difficile de trouver un zootechnicien du calibre de Jarrod, qui possède également des connaissances et une expérience pratiques en matière de production animale. Cette combinaison de compétences enrichira nos connaissances sur le comportement et la santé des animaux, ce qui se traduira par un produit qui non seulement contrôlera efficacement les animaux avec des résultats élevés en matière de bien-être animal, mais qui fournira également des informations précieuses sur la santé et le bien-être afin d'améliorer la productivité.
Et pendant que Jarrod s'attelle à son nouveau travail, il a une autre mission chez Gallagher...
Le vendredi des chemises funky est une chose - les hawaïennes sont les meilleures pour cela, mais tout ce qui vous fait vous sentir un peu plus funky est une victoire. J'essaierai lentement d'apporter cela à Gallagher...
Les lauréats des prix internationaux du design australien ont été annoncés le vendredi 8 septembre lors des 2023 Australian Good Design Awards auxquels ont assisté des invités de la communauté du design et de l'architecture.
Gallagher eShepherd™ eS1 a reçu un prestigieux Good Design Award Winner Accolade dans la catégorie Product Design en reconnaissance d'un design et d'une innovation exceptionnels.
Le jury des Good Design Awards a commenté,
« Les avantages que ce projet offre aux domaines du musèlement, de la gestion des pâturages et de l'entretien des clôtures sont potentiellement énormes - bien joué. »
Les Good Design Awards sont la plus haute distinction en matière de design et d'innovation en Australie et récompensent divers projets dans 11 disciplines de design couvrant plus de 35 catégories et sous-catégories. Les Good Design Awards 2023 ont attiré plus de 900 projets de conception de haute qualité provenant du monde entier, évalués par plus de 70 jurés australiens et internationaux, dont des concepteurs, des ingénieurs, des architectes et des leaders d'opinion.
Comment eShepherd s'est-il distingué dans cette compétition acharnée pour décrocher la première place ? Notre article décrit en détail le défi auquel sont confrontés les agriculteurs du monde entier et explique comment la conception innovante de l'eShepherd aura un impact sur l'efficacité et les opérations agricoles :
Le défi
Les clôtures physiques sont l'une des technologies les plus anciennes et les plus utiles de l'agriculture. eShepherd offre un moyen plus intelligent et numérique de gérer les entreprises et de résoudre certains des problèmes les plus importants auxquels les éleveurs de bétail sont confrontés, en apportant des avantages aux modes de vie des agriculteurs, aux environnements naturels qu'ils exploitent et aux résultats de leurs opérations agricoles.
La solution Gallager eShepherd eS1
Composée d'un tour de cou GPS alimenté par l'énergie solaire et d'une application de clôture basée sur le cloud, la solution eShepherd eS1 de Gallager permet aux éleveurs de déplacer et de surveiller facilement le bétail en détectant le comportement des animaux et en y réagissant. Cette solution de clôture adaptable à l'infini et instantanément permet aux agriculteurs de gérer le bétail n'importe où sur leur exploitation, en divisant les parcelles difficiles à clôturer en cellules de pâturage plus petites afin de gérer un système plus efficace et prospère basé sur les pâturages. La productivité des pâturages s'en trouve améliorée grâce à un meilleur accès à la matière sèche, à la prévention du surpâturage et à l'optimisation de l'utilisation des pâturages, tout en réduisant la dépendance à l'égard des ressources physiques de clôture, telles que les matériaux et la main-d'œuvre qualifiée.
L'impact
eShepherd permet aux agriculteurs de mettre en œuvre des systèmes de pâturage cellulaire ou en rotation adaptés à la géographie de l'exploitation, à la végétation et aux variations saisonnières. Il permet une gestion durable des terres et une agriculture régénératrice en fournissant une méthode efficace pour modifier les schémas de pâturage et s'assurer que les pâturages sont utilisés de manière efficace. Le système se connecte à des applications web et mobiles qui permettent aux agriculteurs de clôturer instantanément, de déplacer et de surveiller le bétail à distance, ce qui peut réduire considérablement les risques lors d'événements d'urgence et fournit un système de gestion du bétail de précision ; il surveille chaque animal du troupeau en tant qu'individu, ce qui garantit qu'aucun animal n'est laissé pour compte et que les problèmes de santé peuvent être identifiés de manière proactive.
« Le fait d'être récompensé par un prix australien du bon design indique au monde entier que ce projet ne représente pas seulement l'excellence en matière de design, mais qu'il surpasse également les critères d'innovation et d'impact en matière de design. Le Good Design Award est une reconnaissance indépendante de la qualité de la conception professionnelle », a déclaré Brandon Gien, directeur général de Good Design Australia et président des Australian Good Design Awards.
« Les Good Design Awards reconnaissent et célèbrent le pouvoir de transformation de la conception pour trouver des solutions innovantes et centrées sur le client aux défis locaux et mondiaux. Je félicite sincèrement tous les concepteurs, ingénieurs, architectes et innovateurs récompensés cette année - vous méritez d'être célébrés au plus haut niveau possible », a conclu M. Gien.
eShepherd est en cours de lancement dans certaines exploitations d'élevage bovin en Nouvelle-Zélande. Soumettez votre demande dès aujourd'hui et Gallagher vous contactera lorsque eShepherd vous conviendra.
Le coût de l'exclusion permanente des animaux des cours d'eau et des zones protégées alimente l'intérêt des éleveurs de bovins pour les clôtures virtuelles, alors qu'ils recherchent des solutions innovantes pour se conformer aux réglementations environnementales. Ces informations proviennent d'une étude menée par Gallagher dans le cadre de son processus de développement de produits dirigé par les agriculteurs, afin de mettre sur le marché sa solution de clôture virtuelle eShepherd™, fabriquée en Nouvelle-Zélande.
Les nouvelles réglementations du gouvernement en matière d'eau douce signifient que d'ici le 1er juillet 2025, tous les lacs, zones humides et voies d'eau de plus d'un mètre de large devront être clôturés. Et ce n'est pas une mince affaire. "Les nouvelles règles représentent un défi unique pour les éleveurs de bovins néo-zélandais qui gèrent souvent de vastes zones éloignées entrelacées par de multiples cours d'eau difficiles à clôturer", explique Sarah Adams, directrice générale de Gallagher pour la stratégie mondiale et les nouveaux projets.
"Cela pourrait coûter à certains d'entre eux des millions de dollars en clôtures traditionnelles. Avec l'augmentation des coûts des clôtures, la pénurie de compétences et les longs délais d'approvisionnement en matériaux de clôture, ils cherchent désespérément des solutions alternatives qui peuvent leur faire gagner du temps et de l'argent sur le long terme. C'est un défi important que les clôtures virtuelles peuvent aider les agriculteurs à relever".
Les nouvelles règles d'exclusion des voies d'eau seront gérées par les 11 conseils régionaux de Nouvelle-Zélande. M. Gallagher a présenté eShepherd à un certain nombre de ces conseils régionaux pour qu'ils le considèrent comme une solution viable. "Nous allons travailler avec certaines de ces autorités sur des essais de validation de concept au cours des prochains mois", explique Sarah.
En plus d'être une solution viable pour l'exclusion des voies d'eau, eShepherd peut aider les agriculteurs à mettre en œuvre un régime de pâturage qui favorise la santé de leurs terres et de leurs pâturages. "eShepherd permet aux agriculteurs de mettre en œuvre des schémas de pâturage flexibles et adaptables, ce qui peut améliorer la productivité de leurs sols, de leurs pâturages et de leurs animaux", explique Sarah. "Cela signifie également qu'ils peuvent éloigner le bétail des zones chargées en nutriments et le garder dans les zones de pâturage moins appétentes afin d'assainir et d'améliorer la fertilité du sol.
La suppression des obstacles physiques aux voies de migration des animaux peut également contribuer à l'épanouissement de la biodiversité d'une zone - un avantage considérable d'eShepherd par rapport aux clôtures physiques. "Une clôture physique peut contenir le bétail, mais elle limite les mouvements migratoires de la faune", explique Sarah. "eShepherd permet au bétail de paître dans une zone confinée sans ériger de barrière qui gênerait les animaux sauvages qui ont besoin de passer.
Avec le changement climatique et la multiplication des catastrophes naturelles, eShepherd pourrait également contribuer à prévenir les pertes de bétail et les blessures en cas de sinistre. "Les clôtures physiques empêchent le bétail de se mettre à l'abri, entraînent des coûts élevés de remise en état et nécessitent une présence humaine dans des situations dangereuses pour être gérées", explique Sarah. "Avec eShepherd, les agriculteurs peuvent rapidement localiser et déplacer le bétail loin des dangers environnementaux tels que les inondations, les incendies de forêt et autres catastrophes naturelles.
eShepherd permet également aux agriculteurs de rétablir rapidement le confinement du bétail. Les clôtures virtuelles peuvent être réactivées et le bétail contrôlé immédiatement, sans qu'il soit nécessaire de remettre en place des clôtures physiques, coûteuses et nécessitant une main-d'œuvre importante. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur le rétablissement de l'environnement.
Les agriculteurs désireux d'en savoir plus ou de soumettre une demande peuvent s'inscrire ici.